« Le tonnerre et l’éclair surviennent tous deux : image de l’abondance.
Ainsi l’homme noble tranche les procès et exécute les châtiments. »
« L’abondance a du succès.
Le roi parvient à la plénitude.
Ne sois pas triste : tu dois être comme le soleil à midi. »
Période faste où les possibilités sont multiples. Il faut prendre garde à ne pas se laisser submerger par cette abondance, car trop est parfois pire que pas assez. Le discernement est nécessaire pour bénéficier au mieux de cette situation.
Nous vous rappelons que les traits se lisent de bas en haut
Premier trait :
« Quand un homme rencontre le maître qui lui était destiné ils peuvent rester ensemble dix jours et il n’y a pas de blâme.
Si l’on va de l’avant, on trouve crédit. »
Rencontre favorable qui permet de prendre conscience que la situation d’abondance doit être gérée. La rencontre est brève et positive.
Deuxième trait :
« Le rideau est d’une telle densité qu’on voit l’étoile polaire à midi.
En allant de l’avant on rencontre méfiance et haine.
Si on les suscite par la vérité, la fortune vient. »
L’abondance de possibilités empêche de distinguer les choses avec lucidité. Poursuivre malgré tout aura des répercussions négatives. Il faut tout d’abord essayer d’y voir clair.
Troisième trait :
« Le fourré est d’une telle densité qu’on voit les étoiles à midi.
Il se brise le bras droit.
Pas de blâme. »
On a du mal à y voir clair et la multitude de choix paralyse l’action. Les possibilités d’évolution restent positives.
Quatrième trait :
« Le rideau est d’une telle densité que l’on voit l’étoile polaire à midi.
Il rencontre son maître qui est de même nature.
Fortune. »
L’abondance de choix empêche de distinguer les choses avec lucidité. La possibilité d’une rencontre, dans le cadre de cette abondance, amène des développements favorables.
Cinquième trait :
« La bénédiction et la gloire se rapprochent.
Fortune. »
Réussir à prendre la bonne décision amène le succès.
Sixième trait :
« Sa maison est dans l’abondance.
Il cache sa famille.
Il guette à travers la porte et ne remarque plus personne.
Pendant trois ans il ne voit rien.
Infortune. »
L’incapacité à agir due à l’abondance de possibilités amène à se renfermer sur soi-même. Le manque de discernement entraine une période d’inaction.