« Au pied de la montagne est le feu : image de la grâce.
C’est ainsi que l’homme noble agit quand il clarifie les affaires courantes, mais il n’ose pas décider de cette manière les questions litigieuses. »
« La grâce a du succès.
Dans les petites choses il est avantageux d’entreprendre une action. »
Embellir réellement une chose demande un travail qui permet de prendre conscience de l’essence de cette chose. Une perception juste et une action mesurée apportent une grâce qui ne se limite pas aux apparences mais permet d’obtenir un accord entre le fond et la forme.
Nous vous rappelons que les traits se lisent de bas en haut
Premier trait :
« Il donne de la grâce à ses orteils, quitte le char et marche. »
L’embellissement de la forme doit se faire en toute simplicité, en commençant par le commencement.
Deuxième trait :
« Il donne de la grâce à sa barbe. »
L’embellissement ne doit être un acte superficiel, il ne faut pas dissocier la forme du fond.
Troisième trait :
« Gracieux et humide.
La persévérance durable apporte la fortune. »
Si l’embellissement ne se limite pas à l’apparence, il est durable et aura des conséquences bénéfiques.
Quatrième trait :
« Grâce ou simplicité ?
Un cheval blanc vient, comme s’il avait des ailes.
Ce n’est pas un brigand, il fera sa demande en son temps. »
La beauté ne doit pas être superficielle, rien ne sert de trop en faire, cela doit rester un processus naturel.
Cinquième trait :
« Grâce dans les collines et les jardins.
Le rouleau de soie est chétif et maigre.
Humiliation et, finalement cependant, fortune. »
Le fond et la forme doivent être en accord avec une conscience de la signification des actes réalisés. Les possibilités sont réduites, mais la situation évoluera positivement.
Sixième trait :
« Grâce simple.
Pas de blâme. »
L’apparence en elle-même est sans importance, mais le travail accompli a permis de prendre conscience de l’essentiel.